Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Ces scènes de pluie mémorables

 

 

 

 

 

Durant la fin de mai 2016, la pluie est abondante sur une grande partie de la France, bloquant même sérieusement le tournoi de Roland-Garros...

 

L'occasion de revenir sur 15 films qui ont marqué les esprits grâce à leurs scènes de pluies : 

 

 

Blade Runner (Ridley Scott, 1982)

 

Dans le chef-d'oeuvre de Ridley Scott, la pluie vient (peut être ?) calmer la colère du répliquant joué par Rutger Hauer alors que celui ci est sur le point de tuer Harrison Ford. L'occasion est donnée d'une belle réflexion sur la nature humaine :

 

 

 

 

Quatre mariages et un enterrement (Mke Newell, 1994)

 

A la manière de Billy Crystal et Meg Ryan dans "Quand Harry rencontre Sally", Hugh Grant et Andie MacDowell passent plusieurs années à se titiller sans jamais se dire qu'ils s'aiment. C'est sous une pluie battante qu'ils finissent par s'avouer leur amour :

 

 

 

 

Jurassic Park (Steven Spielberg, 1993)

 

Comment se passe la première rencontre des visiteurs de Jurassic Park avec le monstrueux T-Rex ? Durant la nuit et sous la pluie. La terreur façon Spielberg. Terrifiant et efficace :

 

 

 

 

Spiderman (Sam Raimi, 2002)

 

Comment il aime être embrassé Spiderman ? Bah la tête à l'envers et sous la pluie tant qu'à faire. Et cela donne une scène culte :

 

 

 

 

Retour vers le futur (Robert Zemeckis, 1985)

 

Une bonne pluie, et plutôt ici un bon orage, cela peut vous permettre aussi de rentrer à votre époque lorsque vous êtes bloqué en 1955... Ce n'est pas Marty McFly qui vous dira le contraire...

 

 

 

 

Psychose (Alfred Hitchcock, 1960)

 

La pluie, cela peut être dangereux quand on conduit, surtout la nuit. Cela dit, si c'est pour que vous arriviez à un motel hautement peu recommandable, il vaut continuer sa route...

 

 

 

 

Seven (David Fincher, 1995)

 

Dans "Seven", les flics Brad Pitt et Morgan Freeman n'ont de cesse de traquer un tueur fou mais aussi une pluie incessante. Cela dit quand on voit ce qui les attend au retour du soleil...

 

 

 

 

Garden State (Zach Braff, 2005)

 

La pluie, cela peut être également une façon de se défouler en criant un bon coup. Alors qui est prêt à suivre Zach Braff et  Natalie Portman dans ce délire ?

 

 

 

 

Match point (Woody Allen, 2004)

 

On vous l'a déjà expliqué : la pluie, la libido...

 

 

 

 

The Outsiders (Francis Ford Coppola, 1983)

 

La pluie, c'est aussi l'occasion de s'expliquer avec ses poings, tant qu'à faire en bandes et avec un gros potentiel de stars en devenir :

 

 

 

 

Star Wars, épisode 2 : L'attaque des clones (George Lucas, 2002)

 

Vous croyez être à l'abri de la pluie dans des galaxies très très lointaines ? Allez donc dire ça à Obi Wan Kenobi, vous verrez ce qu'il en pense :

 

 

 

Neuf semaines et demi (Adrian Lyne, 1986)

 

On vous l'a dit et redit, la pluie, la libido, tout ça...

 

 

 

 

Diamants sur canapé (Blake Edwards, 1961)

 

La pluie, ça peut,par ailleurs, vous remettre les idées en place et vous faire  comprendre qu'il faut pas laisser son gentil chat prendre l'eau. Audrey Hepburn va avoir cette révélation grâce à George Peppard :

 

 

 

 

Chantons sous la pluie (Stanley Donnen, 1952)

 

Et on garde le meilleur pour la fin : si l'on devait retenir UNE seule scène se déroulant sous la pluie, cela serait assurément celle-ci, magique tout simplement :

 

 



31/05/2016
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