Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

"Pierre Lapin"

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La scène d'ouverture donne le ton du film : une bande d'oiseaux s'en va nous conter façon Disney une aventure qui à priori va nous être conté. Mais voilà que la chanson est interrompue lorsque les dits oiseaux se font dégommer comme des malpropres par un lapin, LE lapin, lequel prend illico le relais de l'histoire.

 

Voilà une entame qui aurait pu être jadis celle du trio ZAZ de la série des "Y a t'il...?" s'ils avaient décidé de lancer dans le conte enfantin. Ici ce début indique que oui le film est pour les enfants mais le second degré sera omniprésent pour les parents qui accompagneront ces chers têtes blondes .

 

Et ce rythme effréné de ce début, Will Gluck ne va jamais la quitter tout du long. Aidé par un scénario malin, le film dispose d'un vrai terrain de jeu où l'humour se joint à une belle aventure le tout accompagné par des effets spéciaux bluffants mettant en scène une ribambelle de lapins (mais aussi des renards, cochons et autres coqs plus vrais que nature). Même la petite dose d'émotion et la romance des deux principaux humains ne tombent jamais dans le too much. 

 

Cerise sur le gâteau : les papas qui accompagnent leurs progénitures voir le film ont droit à la présence de la craquante Rose Byrne. Que demander de plus ?

 

 



07/04/2018
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