Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

« Wonka »

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On va être honnête : on allait un peu à reculons voir « Wonka » par peur, sans doute, de ne pas retrouver la magie perpétué par Tim Burton dans son somptueux « Charlie et la chocolaterie », film que nous adorons ici de façon assumée.

 

Paul King n’étant, à priori, pas du tout Tim Burton, n’ayant que deux épisodes de « Paddington » succédant à un film OVNI « Bunny and the bull » passé totalement inaperçu, on était en droit d’avoir de grosses craintes.

 

Celles-ci se dissipent dès le générique qui annonce la couleur : le film sera musical (ce qui n’est d’ailleurs pas très clair dans la bande-annonce), enjoué, avec un Timothée Chalamet en pleine forme qui impose son « Wonka » en un clin d’œil ne laissant aucun doute à sa succession possible à la légende Johnny Depp.

 

Son parcours filmique est aidé par des partenaires hors pairs qui confrontent les ténors du star-system, Hugh Grant et Rowan Atkinson, à de jeunes novices dont on retiendra surtout l’étonnante Calah Lane, jeune ado chanteuse et danseuse de formation, que l’on pourrait très vite retrouver dans d’autres projets.

 

Si les images de synthèses sont légions dans le film, elles ne sont pas étouffantes pour autant, ne faisant jamais d’ombre à un récit riche en rebondissements et trouvailles en tous genres.

 

Pas avare en humour et séquences fortes en intensité, « Wonka » est une large réussite qui remplit son contrat en étant un plaisir pur à contempler aussi bien pour les petits que pour les grands.

 



13/12/2023
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