« Rapaces »
Après un premier polar passé inaperçu — il est vrai, en plein Covid —, Peter Dourountzis revient avec Rapaces, un thriller aux ambitions plus marquées, toujours porté par sa soif de suspense.
Fort d’un casting quatre étoiles — Sami Bouajila, Jean-Pierre Darroussin, Valérie Donzelli, et la nouvelle coqueluche du cinéma hexagonal, Mallory Wanecque, Rapaces nous entraîne dans un thriller plus complexe qu’il n’y paraît.
Le cinéaste prend le temps de poser son intrigue, en développant notamment la psychologie des personnages et en se concentrant sur la relation entre un père et sa fille.
La tension monte crescendo jusqu’à une dernière partie d’une redoutable intensité, où le suspense atteint son paroxysme. Cette séquence finale, incontestablement la plus réussie du film, justifie à elle seule le déplacement.
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