Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

« Elio »

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Au début du film, on se prend à rêver un peu : et si Elio reprenait les bases de ces films d’extra-terrestres dont Spielberg avait le secret ? Après tout, on y retrouve un gamin issu d’une famille brisée (il a perdu ses parents), comme Spielberg aimait en mettre en scène à ses débuts — souvenez-vous des enfants de Rencontres du troisième type ou de E.T., élevés par leur seule mère.

 

On y croit un instant. Mais comme on a vu la bande-annonce, on sait que tout cela ne va pas durer.

Passé ce prologue enthousiasmant, Elio retombe dans les travers d’un film Disney formaté, tout propre, bien sage, qui nous embarque dans une histoire pleine de bons sentiments. Alors oui, sur le principe, on ne passe pas un mauvais moment, mais il faut bien avouer que ce nouveau long-métrage est à des années-lumière du meilleur de Disney.

 

C’est dommage, car le point de départ était prometteur. Mais on a l’impression que les scénaristes n’ont pas osé laisser libre cours à leur imagination, comme s’ils avaient eu peur de sortir du politiquement correct. Oui dommage vraiment.



18/06/2025
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