Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

"Lucy"

 

 

Lucy

 

 

 

L'éternel amoureux des femmes "qui en ont", Luc Besson nous revient avec une nouvelle égérie ayant la même mission que les précédentes, incarnées notamment par Anne Parillaud, Natalie Portman, Mila Jovovich ou encore Louise Bourgoin, soit donc mettre des pains sur la tronche des hommes. 

 

C'est Scarlett Johansson qui s'y colle ici continuant son année de personnages atypiques, presque irréels, entamés par la "voix" suave de "Her" suivi de l'alien de "". 

 

Côté action, Besson ne décoit pas comme d'habitude. Le film est rythmé et tient bien la route tant que le film reste sur sa ligne de conduite de polar traditionnel comme le papa de "Léon" sait en faire.

 

Ca pêche un peu plus quand le cinéaste se met à lorgner sur le Kubrick de "2001 l'odyssée de l'espace" et le Terence Malick de "Tree of life". C'est en s'inspirant fortement de ce dernier sur la fin que Besson nous laisse perplexe en nous soumettant un message qui sied fort mal au film que l'on est en train de voir. Imaginez un peu si Terence Malick avait intégré Nikita dans son film palmé à Cannes, cela aurait donné ce même côté quelque peu ridicule.

 

Mais qu'importe, l'intérêt principal est porté par sa vedette car une fois de plus la bombe Scarlett emporte tout sur son passage.



14/08/2014
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