Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

« Parasite »

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Ce qu’il y a d’agréable dans une palme d’or décernée au Festival de Cannes, c’est de pouvoir la découvrir assez rapidement dans les salles. Le palmé 2019 sort, heureux hasard, quasiment en simultanéité avec sa récompense suprême obtenue sur la Côte d’Azur.

 

Après une immersion dans le ciné US, Bong Joon Ho revient sur ses terres coréennes pour nous signer une œuvre qui ne ressemble à aucune autre. Le réalisateur de « The host » jongle avec tous les genres qui ont fait sa renommée avec une linéarité parfaite. À l’écran cela marche parfaitement et l’on rit, on frissonne, on est pris complètement dans une histoire où bien malin sera celui qui se doute du dénouement final. 

 

Surtout, au delà d’une mise en scène rigoureuse et maligne, le cinéaste s’est associé à une équipe technique de premier ordre. Difficile de ne pas être sensibilisé par la photographie impeccable du film. Les jeux de lumière sont impeccables et se marient parfaitement à l’ambiance du moment.

 

Côté casting, rien à redire non plus. La « petite famille » que l’on suit d’un bout à l’autre est immédiatement attachante. On doit cela à un groupe d’acteurs investis corps et âme pour leur réalisateur. Ce merveilleux travail d’équipe aboutit à une œuvre haut de gamme. Une Palme d’Or vraie de vraie.

 

 

 



01/07/2019
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