Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

Pour une poignée de 7e art (par Indy Blave)

« Chronique d’une liaison passagère »

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Emmanuel Mouret divise beaucoup : est-ce la marque des cinéastes doués ? Toujours est-il que le réalisateur a ses fans tout comme des détracteurs fascinés ou écœurés par son cinéma si particulier.

 

Tel un Woody Allen, le cinéma d’Emmanuel Mouret se reconnaît dès les premiers instants. Il y a beaucoup de théâtralité dans le cinéma de Mouret. C’est ce que l’on adhère sur ce blog.

 

Mouret ne déroge pas à cette règle ici et ses acteurs jouent le jeu souhaité. Entre répliques bien trouvées au gré d’une histoire à plusieurs tiroirs, cette liaison là est tout sauf banale. On rit aisément mais pas que… le film captive par sa simplicité d’être et surtout nous conquiert grâce à son duo Kiberlain / Macaigne auquel on aurait tort d’y soustraire la présence non négligeable de la douce Georgia Scalliet. Une jolie réussite.

 



14/09/2022
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